Après avoir donné naissance, la rééducation du périnée à domicile se révèle précieuse. Cette pratique, bien que souvent négligée, a un impact important sur la santé globale des jeunes mères. En renforçant le périnée, on prévient des problèmes tels que les fuites urinaires ou la descente d’organes. Un suivi médical avec une sage-femme est bénéfique pour une rééducation efficace et personnalisée. De plus, le lien entre la rééducation abdominale et le périnée fragilisé ne peut être ignoré pour une récupération post partum optimale.

Rééducation périnéale à domicile : prendre soin de son corps après l’accouchement

La rééducation du périnée à domicile offre de nombreux avantages après l’accouchement. Elle permet d’optimiser la récupération et de s’adapter aux contraintes de l’emploi du temps. Plus qu’une simple série d’exercices physiques, elle représente un véritable engagement envers soi-même, pour prendre soin de son corps et de sa santé intime. Des études menées par des instituts de recherche reconnus confirment l’efficacité de ces pratiques.

Adopter une routine quotidienne de rééducation périnéale à domicile s’avère bénéfique pour une meilleure qualité de vie post-accouchement. Elle renforce les muscles, améliore le confort et prévient d’éventuels désagréments à long terme. De plus, elle contribue à un meilleur bien-être psychologique et à une reprise de confiance en soi.

L’outil MyPerinée offre un accompagnement précieux pour réaliser efficacement ces exercices à la maison. Ainsi, chaque femme a l’opportunité d’être actrice de sa propre santé et de son bien-être, depuis le confort de son domicile. Et ce, tout en bénéficiant des conseils de professionnels de santé, pour une pratique sûre et adaptée à ses besoins spécifiques.

Préserver son corps après l’accouchement en prenant soin de son périnée à domicile, c’est s’offrir une parenthèse de bien-être et de santé, pour soi et pour son futur.

Prévenir les fuites urinaires et la descente d’organes avec un périnée tonique

Avoir un périnée tonique contribue à prévenir les fuites urinaires. Le rôle du périnée dans le contrôle de la vessie est essentiel pour éviter l’incontinence. Un affaiblissement de cette zone peut entraîner une descente d’organes, d’où le besoin de prêter attention aux signes avant-coureurs. Parmi les stratégies de prévention, les exercices de Kegel se distinguent par leur efficacité pour renforcer le périnée. Ces exercices, pratiqués régulièrement, aident à garder un périnée tonique et à éviter les problèmes de fuites urinaires à long terme. La rééducation périnéale après l’accouchement impacte positivement la qualité de vie. En effet, un périnée en bonne santé aide à prévenir l’incontinence et la descente d’organes, des situations qui peuvent affecter la confiance en soi et la joie de vivre. De nombreuses sources fiables, comme des sites académiques, publications scientifiques et organisations internationales, confirment l’importance de la rééducation du périnée à domicile après l’accouchement pour prévenir ces problèmes.

L’importance du suivi médical par une sage-femme pour une rééducation manuelle efficace

Dans le cadre de la maternité, le soutien apporté par une sage-femme revêt une importance cruciale. Spécialiste du suivi médical, elle joue un rôle déterminant dans la rééducation périnéale post-accouchement. L’expertise d’une sage-femme permet d’évaluer précisément la nécessité d’entreprendre une rééducation manuelle. La mise en place d’un programme de rééducation personnalisé, adapté aux besoins spécifiques de chaque femme, constitue un autre bénéfice majeur de ce suivi médical. De plus, la prévention des complications à long terme liées à une rééducation périnéale inadéquate fait partie intégrante de ce suivi.

L’enseignement des techniques de rééducation manuelle à domicile est une autre contribution essentielle de la sage-femme. L’adaptation des exercices de rééducation en fonction du suivi médical régulier permet d’optimiser leur efficacité. La sage-femme joue un rôle crucial dans le soutien émotionnel des nouvelles mères. Sa présence rassurante et sa compétence professionnelle sont des facteurs de motivation importants pour les femmes en pleine rééducation.

Favoriser la récupération post partum : lien entre rééducation abdominale et périnée fragilisé

La période post partum représente un moment crucial pour toute jeune mère. L’objectif principal durant cette phase se centre sur la récupération, nécessitant une attention particulière sur des points spécifiques. Des études provenant de sites académiques tels que PubMed ont démontré une interdépendance entre la rééducation abdominale et du périnée fragilisé. Cette interconnexion joue un rôle essentiel pour une récupération optimale. S’engager dans une routine quotidienne intégrant ces deux aspects peut se révéler bénéfique. Un périnée fragilisé après l’accouchement trouve son renforcement via une rééducation abdominale douce, limitant ainsi les complications à long terme. La surveillance d’un professionnel s’avère indispensable pour guider ce processus délicat.

La réussite de cette rééducation a un impact psychologique positif, contribuant à une récupération post partum complète. L’importance de ce suivi ne se limite pas à la dimension physique, mais se répercute sur le bien-être global de la mère. Pour favoriser cet aspect, il convient d’adopter une approche holistique, prenant en compte tous les éléments essentiels à une récupération réussie.

Cela peut arriver si vite : le préservatif s’est cassé, vous avez oublié la pilule ou vous avez été négligent. Ou tout simplement, vous désirez sincèrement un enfant.  Maintenant, vous voulez des certitudes ! Enceinte ou non ? Mais les tests sont-ils toujours bons ?

Le test rapide pour la maison

Vous pouvez trouver dans toutes les pharmacies des tests de grossesse à domicile. Ils promettent un résultat rapide en quelques minutes. Il suffit de faire pipi sur la bandelette de test le matin. Au bout de trois à cinq minutes, le test vous donne le résultat. Ces tests sont très précis lorsqu’ils donnent un résultat positif avant même les premiers symptômes.

Faux positif : est-ce même possible ?

Le test vérifie la présence de gonadotrophine chorionique humaine (hCG) dans l’urine. Cette hormone n’est produite que pendant la grossesse. Le test ne sera donc positif que si l’hormone hCG est détectable. Un résultat faussement positif est donc très peu probable. Mais dans certains cas, le test peut encore donner un résultat faussement positif :

Si vous voyez le petit signe plus sur le test, qui indique que vous êtes enceinte, vous pouvez supposer que vous êtes enceinte. Dans ce cas, vous devez prendre un rendez-vous avec votre gynécologue et faire confirmer le résultat par celui-ci. Elle vous aidera également à franchir les étapes suivantes ou à répondre à vos questions. Soit dit en passant, un résultat positif très faible peut également être considéré comme tel. Si le test a trouvé des traces de hCG dans votre urine, c’est que vous êtes enceinte. « Juste un peu enceinte » n’existe pas.

Un résultat négatif peut-il être erroné ?

Si le résultat est négatif, la probabilité qu’il soit erroné est beaucoup plus élevée. Cela peut arriver si :

La bandelette n’a pas été en contact avec suffisamment d’urine. La plupart des tests ont une bande de contrôle qui se décolore lorsqu’elle est utilisée correctement. Si la bande de contrôle reste blanche, vous aurez besoin de plus d’urine. Avec la première urine après le lever, dite urine du matin, les tests sont plus précis. À l’heure actuelle, la plus forte concentration de hCG se trouve dans l’urine. Un test peut se révéler faussement négatif si vous le faites plus tard dans la journée.

Mais que faire si votre test est négatif et que vous pensez toujours que vous pourriez être enceinte ? Il est préférable d’attendre que vos règles aient au moins une semaine de retard, puis de refaire le test. Le taux de hCG doublera tous les deux ou trois jours en début de grossesse. Donc, plus vous attendez, plus le résultat sera précis.

La grossesse entraîne d’innombrables changements dans l’état de santé général d’une femme, mais aussi dans ses habitudes, ce qui peut provoquer certains désagréments. Les maux de tête liés à la grossesse, surtout au premier trimestre, peuvent être la conséquence de changements hormonaux ou même de changements de régime alimentaire, par exemple. Cependant, elle peut être liée à des problèmes plus graves et doit donc toujours être examinée.

Qu’est-ce qui peut causer des maux de tête pendant la grossesse ?

Les maux de tête de la grossesse, surtout au premier trimestre, peuvent être liés à des changements hormonaux, à la fatigue, à la congestion nasale, à des changements de régime alimentaire, entre autres. Et, dans certains cas, la douleur diminue ou disparaît lorsque les hormones se stabilisent.

Il est toutefois essentiel que le médecin qui accompagne la femme enceinte soit au courant de tous les épisodes de maux de tête afin qu’il puisse étudier le cas, en particulier lorsque la douleur est fréquente, intense et/ou accompagnée d’autres symptômes.

Roger Taussig Soares (CRM 69239), neurologue à l’hôpital Alemão Oswaldo Cruz, commente qu’un changement très important dans le schéma de la douleur pendant la grossesse nécessite une évaluation neurologique.

« Les femmes ayant des antécédents de migraine ont un risque plus élevé de développer des complications vasculaires cérébrales pendant la grossesse. En outre, d’autres causes de céphalées peuvent survenir, comme une thrombose veineuse cérébrale, une hémorragie cérébrale, une tumeur hypophysaire, un syndrome de vasoconstriction cérébrale réversible, une maladie hypertensive gestationnelle (éclampsie ou pré-éclampsie), une hypertension intracrânienne idiopathique, entre autres. Le neurologue saura rechercher les causes possibles », explique M. Soares.

Un médecin répond aux questions sur les maux de tête pendant la grossesse

Dans une phase aussi spéciale que la grossesse, il est normal que des doutes et des craintes surgissent. Vous trouverez ci-dessous des éclaircissements sur les principaux doutes concernant les maux de tête pendant la grossesse.

1. Est-il normal de ressentir des maux de tête à n’importe quel stade de la grossesse ?

« Une femme qui présente un mal de tête pendant la grossesse peut correspondre à l’un des trois scénarios suivants : elle avait déjà un mal de tête de type primaire, comme une migraine ou une céphalée de tension, et elle a ensuite un mal de tête normal pendant la grossesse ; elle n’en a jamais eu et elle a commencé à avoir un nouveau mal de tête sévère pendant la grossesse ; elle avait un mal de tête primaire et ce mal de tête s’est beaucoup aggravé pendant la grossesse. Ces deux derniers scénarios peuvent être les signes d’un problème plus grave qui doit être examiné par le neurologue », souligne M. Soares.

2. Est-il possible d’avoir une migraine pendant la grossesse ?

Selon Mme Soares, il est possible et relativement fréquent que les schémas migraineux changent pendant la grossesse. « Un mal de tête qui était une migraine sans aura peut se transformer en une migraine avec aura ; et une migraine avec aura peut devenir une migraine sans aura, par exemple », explique le neurologue.

3. La femme qui souffrait de migraine avant la grossesse continuera-t-elle à avoir des crises pendant la grossesse ?

« Parmi les femmes qui présentent une migraine avant la grossesse, 50 à 75 % ressentent une amélioration de la fréquence et de l’intensité des crises, et peuvent avoir une disparition totale de la céphalée pendant la grossesse. Ces statistiques sont particulièrement valables pour la première grossesse », précise Mme Soares. Les femmes qui ont eu plusieurs enfants, dit Soares, peuvent avoir une aggravation des crises dans la moitié des cas. « Les maux de tête après l’accouchement surviennent chez 30 à 40 femmes, indépendamment des antécédents de migraine.

En général, le schéma des maux de tête revient rapidement après l’accouchement à ce qu’il était avant la grossesse. Après un mois, plus de la moitié des femmes ont à nouveau leurs crises « normales » », explique le neurologue. Dans certains cas, souligne M. Soares, le neurologue peut envisager un traitement préventif de la migraine pendant la grossesse. « Les médicaments à usage prophylactique sont indiqués lorsque l’impact des crises est important et que les traitements non médicamenteux associés aux antalgiques ne suffisent pas. En fonction de la gestation, le choix de la prophylaxie suit une logique adaptée à la situation », explique le médecin.

4. Les femmes enceintes peuvent-elles prendre des médicaments contre les maux de tête ?

La femme enceinte ne doit jamais prendre un médicament de son propre chef, et elle doit toujours parler de cette intention au neurologue et/ou au gynécologue qui accompagne sa grossesse. « Il est recommandé d’éviter tous les types de médicaments analgésiques pendant la grossesse et de ne les utiliser que lorsque les ressources non médicamenteuses ne fonctionnent pas », souligne M. Soares.

5. Que doivent faire les femmes enceintes pendant un épisode de maux de tête ?

« Parmi les interventions possibles figurent les massages, l’acupuncture, la relaxation, le do-in, les techniques de pleine conscience et une activité physique régulière. En outre, il existe des dispositifs de stimulation électrique sans danger pour la grossesse, comme le Cefaly. Le médecin doit guider la meilleure conduite à adopter dans chaque cas », explique M. Soares.

Voici quelques mesures simples qui peuvent aider en cas de douleur : s’allonger dans un environnement calme, sans lumière ni bruit ; appliquer une compresse d’eau froide sur le front ; se laver le visage à l’eau froide ou prendre un bain d’eau chaude ou froide ; manger toutes les trois heures (ou selon les indications du médecin).

Dans tous les cas, le médecin qui accompagne la grossesse doit toujours être informé de l’apparition de maux de tête pendant la grossesse. Apprenez-en davantage sur ce qui se passe à chaque phase de la grossesse.

Les informations contenues dans cette page ne sont données qu’à titre indicatif. Ils ne remplacent pas les conseils et le suivi des médecins, nutritionnistes, psychologues, professionnels de l’éducation physique et autres spécialistes.

Le reflux gastrique est très souvent dû à des problèmes liés à la surproduction d’acides, à une hernie hiatale mais aussi, parfois, à une situation de stress ou à une grossesse. Le reflux tout comme les nausées peuvent faire partie des premiers symptômes de grossesse. Voyons comment reconnaître le reflux pendant la grossesse et, si possible, comment le résoudre.

A quoi ressemble le reflux ?

Le reflux acide peut être reconnu par des brûlures d’estomac, des remontées acides, des vomissements, des nausées ou une sensation de poids sur l’estomac. Tout cela est imputable à une affection qui peut toucher les femmes et les hommes de tous âges mais également les femmes enceintes.

Le reflux pendant la grossesse n’est pas en soi dangereux pour la mère ou le bébé mais, malheureusement, c’est une situation gênante, surtout lorsque les symptômes durent longtemps.

De quoi dépend le reflux pendant la grossesse ?

Le reflux pendant la grossesse dépend des hormones typiques de cette période et de la taille et du poids du ventre qui grossit. L’hormone principale est la progestérone. Celle-ci est produite par le placenta et tend à relâcher les muscles lisses et également de l’œsophage et du cœur, et la valve qui empêche l’estomac de libérer les acides produits lors de la digestion.

Comment traiter le reflux pendant la grossesse

Lorsque vous rencontrez ce problème, il est bon d’adapter, tout d’abord, votre mode de vie et votre régime alimentaire. Voici quelques conseils utiles pour les femmes enceintes.

Tout d’abord, il est bon de fractionner les repas, qui doivent être légers. L’estomac ne doit jamais être trop plein, c’est pourquoi 5 repas par jour sont suffisants. Les liquides pendant les repas doivent être réduits et le régime ne doit pas favoriser le reflux. Arrêtez donc les aliments frits, les épices, les légumes acides comme les agrumes, les tomates, la menthe, le café, l’alcool et les boissons sucrées et gazeuses.

En tenant un journal alimentaire, vous pouvez identifier les aliments qui déclenchent le reflux. Il est évidemment bon d’éviter de fumer et de se coucher immédiatement après les repas. Il est, en effet, conseillé de s’endormir trois heures après avoir mangé. Pour empêcher les acides de monter, il convient de dormir dans une position légèrement inclinée et de faire de l’exercice pendant la journée.

Y a-t-il des médicaments qui peuvent agir sur le reflux ?

Si la situation ne semble pas s’améliorer, il existe sur le marché des remèdes qui peuvent atténuer le reflux. En optant pour des formulations à base d’antiacide et d’alginate de sodium, on formera ainsi une barrière physique qui pourra flotter sur le contenu de l’estomac, empêchant ainsi la remontée vers l’œsophage.

Toutefois, avant d’utiliser cette solution, vous devez consulter votre gynécologue. En effet, il est possible que ce traitement entrave l’absorption de compléments ou d’autres médicaments nécessaires à la santé de la mère et du fœtus.

La grossesse est un moment particulier dans la vie d’une femme. C’est aussi pendant cette période que le corps subit certains changements qui, bien que normaux, peuvent générer des désagréments pour la future maman. Les douleurs au dos, aux jambes et au cou, ainsi que les gonflements et les insomnies sont assez fréquents pendant la grossesse. Cependant, avec des activités simples, il est possible de soulager la douleur et assurer une bonne nuit de sommeil et une préparation adéquate pour l’arrivée du bébé.

Tout comme le pilates, le yoga est la pratique idéale pour la femme qui veut se détendre et pour se débarrasser des tensions et gagner en confort. Certains types de postures peuvent être effectués par toute femme enceinte, au cours des trois trimestres, si le médecin l’autorise.

Attention : il est extrêmement important d’avoir un suivi prénatal avant de commencer toute activité physique. Évitez les exercices lourds pendant les trois premiers mois de la grossesse. Les femmes souffrant de maladies cardiaques et pulmonaires, de saignements utérins, d’un col de l’utérus incompétent, d’une dilatation du col de l’utérus et les grossesses présentant un risque de prématurité doivent également être prudentes.

Les femmes enceintes qui souffrent de certains des problèmes mentionnés ci-dessus, ou de tout autre, peuvent opter pour des postures réparatrices, qui se caractérisent « par des séjours plus longs ». Ces positions aident à détendre, dynamiser et harmoniser le corps et l’esprit, en plus de soulager les symptômes du stress, de l’anxiété, de l’angoisse et de l’épuisement.

Prêt à partir ? Découvrez deux postures réparatrices pour réduire l’inconfort pendant la grossesse.

Remarque : pour réaliser ces exercices, vous aurez besoin de blocs de yoga, d’une chaise, d’un mur et de coussins (une couverture, si vous préférez). Choisissez des vêtements confortables (ni trop serrés ni trop amples pour ne pas gêner la pratique). Un conseil est également de choisir un endroit calme et spacieux afin de pouvoir s’allonger sans trop d’interférences extérieures.

Demi pont

Allongez-vous lentement sur le tapis, jambes et bras tendus. Ensuite, placez vos pieds sur le sol, parallèlement à la largeur des hanches, et soulevez doucement votre bassin. Vos pieds doivent être à un centimètre de vos fessiers.

Gardez vos genoux en ligne avec vos pieds. Bougez lentement votre colonne vertébrale de haut en bas, vous n’avez pas besoin de pousser trop fort. Placez un support sous votre tête et un bloc entre vos genoux. Inspirez, montez. Expirez, descendez.

Répétez l’exercice au moins six fois. Après avoir effectué la posture, restez pendant deux minutes.

Chien regardant vers le bas

Placez-vous devant une chaise et tenez-la fermement avec vos mains. Marchez à reculons jusqu’à ce que vous formiez un V inversé. Pliez un peu les genoux et gardez votre colonne vertébrale droite. Respirez calmement. Restez dans cette position pendant un certain temps.

Enfant dans le fauteuil

Quand vous avez terminé vos respirations, mettez-vous à genoux. Placez la couverture sur la chaise. Écartez les genoux et mettez vos orteils en arrière. Croisez vos bras et posez votre tête sur vos bras. Ouvrez les genoux et asseyez-vous. Restez en position.

Certaines femmes sont si attentives aux signes de leur corps qu’elles peuvent réaliser une grossesse quelques jours après la conception.

Ces futures mamans existent, sans aucun doute, mais sont une minorité ; le plus commun est l’émergence de symptômes trois semaines après la fécondation de l’œuf.

En d’autres termes, découvrir la grossesse dans les premières semaines est très important, parce que c’est à partir de ce moment que la femme peut prendre des mesures qui bénéficient le fœtus, comme la recherche de soins prénatals, améliorer l’alimentation, éviter la consommation d’alcool, etc.

Toutefois, identifier les symptômes qui dénoncent la grossesse n’est pas si simple.

Outre le fait qu’ils varient d’une femme à l’autre, et même d’une même personne à l’autre, ils peuvent facilement être confondus avec les signes des menstruations.

L’important est de prêter attention à son propre corps et de suivre quelques conseils. N’hésitez pas à vous mettre à une activité relaxante, méditation ou yoga dès le début pour vivre pleinement votre grossesse.

Pour vous aider, on a séparé 10 caractéristiques très communes du début de la grossesse.

Découvrez-les dans la liste ci-dessous et apprenez ensuite quels sont les tests les plus fiables utilisés par les futures mamans.

Dix signes de début de grossesse

Petits saignements vaginaux

Une fois l’ovule fécondé par un spermatozoïde, l’embryon s’implante dans la paroi utérine en 12 jours maximum, ce qui peut provoquer de petits saignements utérins.

De nombreuses femmes qui présentent ce type de symptôme pensent qu’elles sont sur le point d’avoir leurs règles, alors qu’en fait elles sont déjà enceintes.

Crampes et douleurs abdominales : Le début de la grossesse peut provoquer une gêne dans le bas-ventre ou une sensation de ballonnement dans le ventre, qui peut également être confondue avec les symptômes qui apparaissent lors des menstruations.

Cela se produit lorsqu’une femme est enceinte, l’utérus subit des changements constants, ce qui stimule l’apparition de contractions utérines, ressenties par la femme comme des crampes.

Retard des menstruations

Il s’agit d’un signe bien connu de la grossesse, qui peut toutefois passer inaperçu si la femme a des menstruations irrégulières.

En outre, le retard peut être lié à d’autres facteurs, comme le stress.

Les saignements mentionnés au point 1 peuvent également contribuer au fait que de nombreuses femmes ne remarquent pas le retard.

Des seins gonflés et douloureux

Pendant la grossesse, les seins peuvent devenir plus gros et douloureux en deux semaines seulement.

Cela se produit en raison des changements hormonaux typiques de la période des règles.

Les mamelons peuvent également devenir plus sensibles, une gêne qui tend à s’atténuer lorsque le corps commence à s’habituer aux nouveaux niveaux hormonaux.

Nausées : Typiques du premier trimestre de la grossesse

Elles apparaissent généralement entre la 6e et la 12e semaine de grossesse et tend à disparaître avec le temps.

Dans certains cas, la femme peut commencer à ressentir des reflux et nausées avant même le retard de ses règles.

Dans d’autres, avec de la chance, elle ne ressent rien pendant toute la grossesse.

Changements de goût ou d’odeur

Il est fréquent qu’une femme commence à ressentir un goût métallique dans la bouche, ou qu’elle ne tolère plus le goût des aliments qu’elle aimait auparavant.

D’autre part, elle peut ressentir un désir inexplicable pour des aliments qu’elle ne supportait pas auparavant et avoir des fringales, envies incontrôlables, de manger certains aliments. .

En ce qui concerne l’odorat, il peut arriver que la personne commence à sentir des odeurs qu’elle n’avait jamais remarquées auparavant, et qu’elle en soit gênée.

Somnolence et fatigue : des signes courants également causés par les changements hormonaux

Une semaine seulement après la fécondation, la femme peut se sentir plus fatiguée pour les tâches qu’elle accomplissait normalement.

Un sommeil excessif est également un signe typique, bien qu’il puisse être lié à d’autres facteurs.

En conséquence, la femme enceinte peut avoir envie de s’endormir plus tôt et avoir du mal à se réveiller.

L’envie d’uriner tout le temps

Les changements hormonaux, une fois encore, en sont la cause, et la personne peut avoir besoin d’aller aux toilettes plus souvent, y compris pendant la nuit.

Il s’agit d’une caractéristique très courante, qui apparaît généralement après environ six semaines de grossesse.

Sautes d’humeur

Les augmentations de sensibilité sont assez courantes, et une femme enceinte peut même se surprendre à pleurer en regardant une publicité pour de la margarine.

Les sautes d’humeur soudaines sont également fréquentes.

Maux de tête

Les modifications hormonales et du flux sanguin cérébral contribuent à expliquer pourquoi certaines femmes enceintes souffrent de maux de tête pendant la grossesse, un symptôme qui apparaît généralement dès les premières semaines de la grossesse.

La femme enceinte peut présenter certains, tous ou même aucun des symptômes ci-dessus.

L’important est de rester vigilant et, pour confirmer les soupçons, d’effectuer un test de grossesse.

Test en pharmacie

Les tests achetés en pharmacie peuvent avoir des sensibilités différentes, mais utilisent le même principe : À travers l’urine, détecter la présence de l’hormone gonadotrophine chorionique humaine (hCG), produite uniquement lorsque la femme est enceinte.

Comme l’hCG est encore présente en très petites quantités peu après la fécondation, il est recommandé de ne faire le test qu’après le retard des menstruations (environ 14 jours après l’ovulation).

Si le test est positif, la grossesse est pratiquement certaine même si dans de rare cas, le test peut donner un résultat faux positif.

Apprenez comment évaluer le résultat

Test sanguin HCG : Connu sous le nom de test sanguin hCG bêta, il s’agit de la méthode la plus fiable pour identifier une grossesse.

La version bêta de l’hormone y est mesurée en laboratoire.

Il s’agit d’un test définitif, qui peut identifier une grossesse même quelques jours après la fécondation de l’ovule.

Par conséquent, s’il est positif, la future maman peut déjà faire la fête.

La maternité est une expérience unique qui vous fait grandir et vous réjouit dès les premiers symptômes de la grossesse. C’est une période pleine d’émotions, une étape vitale de bonheur, de fatigue, de changements et d’attentes qu’il faut apprendre à maîtriser. Affronter la maternité, c’est vivre une expérience bouleversante et une énorme satisfaction.

Lorsque vous attendez un bébé, vous sentez souvent les changements à venir et vous pensez être préparée, mais la vérité est que la plupart des mamans sont prises au dépourvu. L’arrivée d’un bébé génère des émotions positives telles que le bonheur et l’espoir, mais elle bouleverse en même temps de nombreuses routines et priorités. C’est une phase accablante. C’est pourquoi il est très important de savoir comment gérer la maternité de la meilleure façon possible.

Se sentir déstabilisé par un changement aussi important ne signifie pas nécessairement qu’on n’est pas prêt ; cela bouleverse inévitablement. Comme toutes les choses importantes, il faut du temps pour s’adapter aux changements qui sont sur le point de se produire.

Devenir maman signifie assumer un nouveau rôle important, et retrouver son équilibre peut sembler presque impossible, surtout au cours des premiers mois. Mais ce n’est pas le cas. Tout d’abord, vous devez être claire sur votre rôle afin d’affronter la maternité avec plénitude.

Il n’y a pas une seule façon de faire face à la maternité, en fait il y en a autant qu’il y a de mères. Il y a cependant quelques points à garder à l’esprit, surtout si on ne veut pas que les moments d’anxiété et de découragement prennent le dessus.

Ne vous laissez pas submerger par l’opinion des autres.

La maternité est une phase pleine de pressions et de préjugés, de stéréotypes et de critiques qui définissent ce qui est bon et ce qui est mauvais. Ce qui fait qu’une mère est bonne ou mauvaise. Ne tombez pas dans ce cercle… seul le pédiatre peut dire ce qui est bon et ce qui est mauvais.

Ne vous concentrez pas sur ce que devrait être la maternité, mais sur ce qu’elle est pour vous. Donnez-lui un sens personnel, ne le construisez pas sur des critères extérieurs, sinon vous ne pourrez guère en profiter et vous sentir en paix. N’oubliez pas que la base de la maternité est l’amour, et que l’amour est toujours naturel : suivez votre instinct et fondez-vous sur des critères personnels. Construisez votre propre définition de la maternité et vous trouverez la meilleure mère pour votre enfant.

Si vous ne souhaitez pas allaiter, n’allaitez pas. Si vous souhaitez allaiter en public, ne vous gênez pas ! Tant que vous vous sentirez pleinement aligné avec ce que vous faites, votre enfant le sera également et vous vivrez une maternité plus épanouie, malgré les difficultés.

Coresponsabilité

Les mères et les pères sont des figures distinctes, mais toutes deux sont également capables, fondamentales et compétentes. Si, en tant que mères, vous croyez que le couple veut le meilleur pour l’enfant, pourquoi ne déléguez-vous pas vos tâches au père et ne lui accordez-vous pas toute votre confiance ?

Il arrive souvent que la femme assume toutes les responsabilités inhérentes à la maternité, ne permettant pas au père de s’engager avec la même intensité dans la croissance et le soin des enfants. C’est injuste. Pourquoi alors vous en plaignez-vous ? Au contraire, parfois vous ne percevez pas de la part du partenaire le désir d’assumer cet engagement.

Ces deux scénarios ne devraient pas se produire. Abandonnons le confort et la résignation. La responsabilité et les soins du bébé ne reposent pas sur une seule personne (dans le cas des familles biparentales), et il est essentiel de répartir équitablement les responsabilités qui accompagnent la maternité.

Assertivité

Les personnes qui vous entourent ne cessent de suggérer, de répéter et d’insister sur la façon dont les choses devraient être faites. Peu importe que vous les connaissiez depuis cinq minutes ou des années, ils semblent tous savoir ce qui est le mieux pour vos enfants. Ils se permettent même de vous corriger ou de vous critiquer.

Eh bien, à moins que vous ne puissiez établir des limites claires dès que possible, la situation ne changera pas. Les parents sont les seuls responsables du bien-être physique et émotionnel de leur enfant. Trouvez un moyen d’exprimer clairement et poliment ce qui vous dérange et faites comprendre aux autres que c’est à vous de prendre les décisions.

Vous devez aborder la maternité avec respect, et ne pas laisser les autres cacher leur arrogance derrière des conseils ou des opinions.

Éviter la culpabilité

La culpabilité est une émotion qui fait facilement surface chez les femmes enceintes pour la première fois. Elles se sentent coupables parce qu’elles ne peuvent pas allaiter, parce qu’elles ne peuvent pas se payer une garderie, parce qu’elles sont arrivées en retard, parce que le bébé est tombé malade, parce qu’elles ne peuvent pas profiter du moment présent, parce qu’elles sont tristes… Une culpabilité sans fin.

La culpabilité peut se transformer en une impasse. Ce n’est pas constructif, et cela peut difficilement devenir positif. Remplacez-la par la responsabilité et la prise de décision. Si vous pensez avoir eu tort, assurez-vous de faire mieux la prochaine fois. Si vous n’avez rien pu faire, ce n’est pas votre responsabilité et il est inutile de vous sentir coupable. Et si vous êtes banale, irritée ou avez l’impression de ne pas apprécier la maternité… Arrêtez. Analysez-vous. Demandez de l’aide et recommencez.

Du temps pour soi

Être une bonne mère ne signifie pas passer vingt-quatre heures par jour avec son nouveau-né. Souvent, on ne se permet pas d’être séparés du bébé parce qu’on ne pense pas que c’est nécessaire ou parce qu’on pense que laisser le bébé entre les mains de quelqu’un d’autre constitue une mauvaise éducation.

Pour réussir à faire face à la maternité, il ne faut pas non plus renoncer à soi-même en tant que personne unique et indépendante. Vous ne devez pas renoncer à votre carrière professionnelle, ni à vos amis, votre partenaire ou vos loisirs. Non et non. Vous devez juste apprendre à vous organiser et à vous adapter aux nouveaux défis qui se profilent à l’horizon.

Quand on devient mère, on ne cesse pas d’être une femme. Vous ne pouvez pas renoncer à vous-même et arrêter de prendre soin de vous. Vous ne pouvez pas négliger d’autres domaines importants de votre vie. Pour être heureuse d’être mère, vous devez d’abord vous sentir bien dans votre peau.

Des parents heureux élèveront des enfants heureux. Ne renoncez donc pas à vous-même, car aussi belle et importante que soit la maternité, la vie va au-delà de la maternité.

Rien ne se compare

La maternité est définie comme une expérience merveilleuse, unique et non reproductible. C’est vrai. Ce que tout le monde ne vous dit pas, cependant, c’est qu’il s’agit également d’une phase très difficile où tout change. Vous pouvez vous sentir dépassée, prise au dépourvu, lassée… Et parfois même seule et abandonnée dans une spirale d’émotions négatives, là où d’autres mères semblent bien plus belles, heureuses et satisfaites.

Parfois, tout ce qui brille n’est pas de l’or. Mais même si c’est le cas, n’oubliez pas que chaque mère est unique et que chaque situation est différente : dans le domaine de la maternité et de l’éducation, il n’y a pas de place pour la comparaison. Affronter la maternité de manière saine signifie se sentir protagoniste de sa propre expérience et donner le meilleur de soi-même, en laissant de côté le reste. On ne doit pas se laisser influencer par d’autres mères ; la maternité n’est pas une compétition.

Il y a plusieurs façons d’être une bonne mère

Il y a une infinité de façons d’aborder la maternité. Le meilleur moyen est de s’approprier le projet. Débarrassez-vous de toute pression inutile et profitez-en à votre manière.

Une nouvelle personne vient dans ce monde pour construire le sien. Il est important de comprendre que les insécurités, les doutes et les mauvais jours font partie de la maternité comme de la vie. Il est également important d’accepter que toutes les émotions qu’on va vivre au cours d’une phase aussi intense ne seront pas positives. Ce serait étrange si c’était le cas.

La maternité est un bijou brut qu’il vous appartient de polir jour après jour. N’oubliez pas qu’avant d’être des mères, vous êtes des personnes. Vous êtes l’axe central de votre vie, le pilier sur lequel vos enfants construiront la leur. Pour gérer la maternité de manière saine, il faut parfois être généreux avec soi-même.

La culpabilité que nous inculquons à nos enfants provient à son tour de la culpabilité que nous intériorisons dans notre enfance. En la laissant inconsciemment se développer à l’âge adulte, nous en sommes venus à la transmettre à nos enfants, avec les conséquences d’une situation difficile à contrôler.

La culpabilité, qui génère de la souffrance et ne mène à rien, est en grande partie une conséquence de l’éducation que nous avons reçue. L’ensemble des règles qui nous sont enseignées doivent être respectées de manière rigide en toutes circonstances.

La fonction de la culpabilité

Que représente réellement la culpabilité dans nos vies ? Comment se manifeste-t-elle ? Dès l’enfance, nous nous forgeons un code moral, qui continue à se construire à travers les réactions des autres à nos actions. La culpabilité a la fonction d’un signal, indiquant que nous avons transgressé les normes établies.

Ainsi, la culpabilité nous fait respecter les règles que nous avons acquises au cours de notre vie, que celles-ci soient conscientes ou non.

Notre juge intérieur est chargé de nous mettre en garde et, en fonction de sa rigidité, le sentiment de culpabilité détectera un problème ; cela augmentera la culpabilité ou, si nous avons réussi à l’assouplir, il nous aidera à apporter les corrections nécessaires.

En tant que parents, nous inculquons la culpabilité à nos enfants sans penser à ce que cela entraîne : nous nourrissons un juge intérieur rigide qui les hantera à l’âge adulte. Nous transmettons ce sentiment de culpabilité par des phrases telles que celles-ci :

Il s’agit de phrases dans lesquelles on leur dit comment se comporter à tout moment, quelles que soient les circonstances, la motivation et les caractéristiques personnelles de leurs enfants. On leur inculque aussi implicitement l’idée que s’ils ne suivent pas ces règles, ils n’agissent pas correctement et doivent s’en sentir mal.

C’est le message qui parvient à nos enfants précisément pendant leur développement, une période où ils apprennent par l’observation et par l’affection qu’ils reçoivent concernant leur conduite.

Éduquer par la responsabilité, pas par la culpabilité

Les normes rigides qui sont acquises finissent par être obsolètes, ne s’adaptant pas aux expériences de vie par lesquelles chacun est passé. Ce juge intérieur qui nous blâme se manifeste constamment, nous faisant nous sentir mal pour ce que nous aurions pu faire mais n’avons pas réussi, ou pour ce que nous devrions faire maintenant.

L’éducation à la responsabilité présuppose la conscience qu’en soi, le bien et le mal n’existent pas, que chaque action a ses conséquences, qui relèvent de notre responsabilité, avec notre propre expérience, nos impulsions, nos émotions et nos sentiments.

En prenant en charge nos actions, le juge intérieur gagne en flexibilité, s’adaptant ainsi à nos besoins et nous permettant de vivre des expériences afin d’observer et d’apprendre des conséquences. Et ce, sans qu’il soit nécessaire de se sentir coupable lorsque nous ne répondons pas aux attentes des autres.

Se débarrasser de la culpabilité pour pouvoir la retirer aux autres

Faire attention à ne pas inculquer la culpabilité à nos enfants demande certainement beaucoup d’efforts, car inconsciemment nous avons appris à le faire, comme on nous l’a appris. Par conséquent, avant de pouvoir agir sur nos enfants, nous devons nous libérer de la culpabilité.

A l’âge adulte, nous sommes responsables de pouvoir changer l’état dans lequel nous sommes, aliénés par la culpabilité. Nous continuons à agir comme les enfants que nous étions, recherchant l’affection et la tendresse des autres par nos actions.

Nous devons comprendre que nous ne sommes plus des enfants et que l’affection et la tendresse ne dépendent pas d’attentes que nous devons respecter, mais plutôt d’une ouverture honnête à l’expérience des décisions que nous prenons à chaque instant, en assumant les conséquences. Cela implique d’agir par responsabilité et non par culpabilité. Il implique la liberté de décision, l’absence d’exigences et d’obligations.

La grossesse est l’une des périodes les plus remarquables de la vie d’une femme. L’accouchement est une expérience qui change non seulement le corps, mais aussi la façon dont une femme se voit et se positionne dans la société. Et c’est à ce moment-là, surtout pour les premières mères, que d’innombrables doutes surgissent et ce n’est pas pour rien, car la grossesse s’accompagne de nombreux mythes. Et l’une d’entre elles, qui a certainement interpellé toutes les femmes enceintes, concerne les désirs de grossesse.

Comme la grossesse subit diverses transformations et changements hormonaux, il est normal que les sens, les désirs et les comportements soient également modifiés. Par conséquent, ils favorisent l’apparition de fringales pendant la grossesse.

Mais quelles sont ces envies ? En gros, il s’agit de l’envie de consommer n’importe quel type de nourriture. Même ceux qui n’étaient pas consommés auparavant ou qui n’étaient pas au goût des futures mères.

Il y a des femmes, par exemple, qui augmentent leur consommation de fruits. D’autres ont un penchant pour les aliments salés. Il y a aussi ceux qui préfèrent mélanger des aliments non conventionnels, comme le sucré et le salé.

Démystifions ensemble les fringales de la grossesse ?

Les fringales pendant la grossesse : mythe ou vérité ?

C’est l’un des sujets les plus controversés concernant la grossesse. Comme de nombreuses femmes ne ressentent pas ce symptôme, certains affirment que les fringales pendant la grossesse ne sont qu’un mythe, un stratagème ou une recherche d’attention.

Malgré cela, la vérité est que, selon les experts, les fringales de grossesse sont réelles OUI (et vous doutez de votre amie, n’est-ce pas ?) et leur cause peut être liée aux changements hormonaux et émotionnels.

Elle peut également être liée à une carence nutritionnelle, surtout si l’envie vient d’un type d’aliment que la femme enceinte n’aimait pas auparavant ou d’une envie très inhabituelle, comme l’envie de manger de la terre ou du ciment.

Causes des fringales de grossesse

Vous connaissez sûrement une femme enceinte qui a eu des envies pendant sa grossesse et celles-ci peuvent être les plus inhabituelles possibles, comme la glace aux haricots, le ketchup à la banane, l’une des étranges envies de la première grossesse de la chanteuse américaine Beyoncé. Les fringales sont réelles, mais y a-t-il une explication ?

Selon certains experts, les fringales pendant la grossesse sont des signes du corps lui-même, indiquant qu’il y a une carence nutritionnelle. Cependant, toutes les fringales ne doivent pas être liées à une carence nutritionnelle, car il existe une autre explication qui conduit à l’effet de certains aliments sur le corps pendant la grossesse.

Par exemple, les propriétés de ces aliments, lorsqu’ils sont consommés, peuvent aider à soulager des symptômes inconfortables, comme c’est le cas du chocolat qui contient des méthyl-xanthines, des composés qui aident à améliorer la fatigue.

Pourquoi ce changement se produit-il dans le goût ?

Il est très courant que pendant la grossesse le goût subisse des changements, après tout, le corps subit plusieurs transformations et est une explosion d’hormones en permanence. Par conséquent, de nombreuses femmes enceintes sont surprises par des envies inhabituelles, le désir de manger quelque chose que, sans la grossesse, elles n’auraient jamais mangé. Par exemple, les femmes végétariennes qui ressentent l’envie de manger de la viande pendant la grossesse. Imaginez la surprise.

Les causes de ces changements de goût. Cependant, elles ne sont pas totalement prouvées, car les médecins et les experts ne sont pas d’accord. Mais il existe des théories qui peuvent aider à comprendre ces changements. Regardez-les :

Changements hormonaux

L’HCG et la progestérone sont les hormones responsables de la régulation des fonctions de la grossesse et avec tant de changements hormonaux pendant la grossesse, l’humeur, le goût, l’odeur et même les préférences alimentaires peuvent changer. Par conséquent, les femmes enceintes peuvent avoir plus d’appétit et même augmenter le désir de certains aliments.

Carences nutritionnelles

Pour d’autres professionnels, des carences nutritionnelles peuvent être à l’origine de l’envie de consommer certains aliments. Ainsi, lorsque la femme enceinte ressent des fringales, cela peut être une indication que le corps a besoin de vitamines ou de protéines.

Cependant, toutes les fringales ne doivent pas être associées à une quelconque carence nutritionnelle. Mais, certaines fringales sont liées à la santé de la femme enceinte, et peuvent contribuer à des problèmes pendant la grossesse.

En voici quelques-unes :

Mais il est important de toujours être conscient non seulement de la quantité de calories ingérées, mais aussi de la qualité de ce que vous mangez. Les sucreries, par exemple, sont pleines de graisses et leur excès peut nuire à la santé de la femme enceinte.

Certaines études soulignent qu’il existe un lien entre l’envie de manger de la glace et la carence en minéraux, c’est-à-dire que le corps souffre d’un manque de minéraux et que le moyen de signaler cette carence est ce désir plutôt inhabituel.

L’augmentation des envies de viande rouge peut être liée à une carence en protéines.

Questions émotionnelles

Les changements hormonaux et les changements perceptibles dans le corps, tels que l’augmentation du volume des seins, des hanches, des fesses et des vergetures, peuvent entraîner des changements de comportement, d’humeur et affecter les émotions d’une femme. Après tout, donner naissance à une vie est une responsabilité et, avec la pression de la société, l’anxiété et la peur, cet ensemble d’émotions peut provoquer des changements de goût, donnant à la femme enceinte l’envie de manger plus ou moins un certain type d’aliments.

Certains experts affirment également que les envies de fumer pendant la grossesse découlent de restrictions présentes dans le subconscient de la femme pendant son enfance et qui deviennent plus évidentes pendant la grossesse.

L’envie de manger des choses non comestibles

Vous avez sûrement entendu parler de fringales inhabituelles pendant la grossesse, comme l’envie de manger de la terre, du ciment, des cendres et des murs. Ces envies étranges ont une explication médicale connue sous le nom de pica-malacie. La pica-malacie est un syndrome qui indique une carence nutritionnelle plus grave et qui se manifeste généralement par des fringales inhabituelles, voire amusantes, mais qui signalent des problèmes sérieux.

Comme l’envie de manger de la brique qui indique un manque de fer, par exemple. Celui de manger de la cendre ou du mur, après tout, peut indiquer un manque de zinc et de calcium. Il est donc essentiel que la femme enceinte informe son médecin si elle ressent des envies étranges. Il sera ainsi en mesure d’identifier la déficience et de proposer le meilleur traitement.

Comment identifier le syndrome ?

Ce syndrome se caractérise par l’envie de manger des objets ou des substances qui ne sont pas des aliments, par exemple :

Brique ;

Terre ;

Gelo ;

Encre ;

Sabonete ;

Cinzas ;

Cola ;

Papier ;

Plastique ;

Bâton d’allumette.

Les envies d’aliments non conventionnels, comme la pastèque avec de la margarine, les haricots avec du ketchup, les pommes de terre crues et l’œuf à la coque, peuvent également être révélatrices du syndrome.

Il est très important que le syndrome soit identifié le plus tôt possible pour éviter les complications, après tout, le syndrome indique exactement que la femme enceinte ne consomme pas la quantité appropriée de nutriments et, s’il n’est pas traité, le bébé peut naître avec des complications telles qu’un poids insuffisant et des problèmes cognitifs.

Conduire avec son bébé peut être amusant. Généralement, les parents aiment ça. Cependant, c’est aussi un désastre tragique si les facteurs de sécurité ne sont pas pris en compte. Bien qu’aucun parent ne souhaite que son bébé soit victime d’un accident où que ce soit, ils semblent parfois oublier les conseils de sécurité qu’ils connaissent parfaitement. Vous trouverez ci-dessous des conseils importants sur la façon d’être en sécurité lorsque vous conduisez avec votre bébé. D’autant plus si vous partez en voyage avec bébé.

Mettez votre bébé d’être à l’aise

Ne conduisez pas lorsque votre bébé a faim, a soif ou n’a pas assez dormi. Peu importe comment vous vous amusez avec lui, il ne profitera pas du trajet s’il a des problèmes. Utilisez un écran facial sur le côté et à l’arrière du véhicule pour éviter que votre enfant ne se sente mal à l’aise. Habillez votre enfant en fonction de la température du véhicule. S’il se sent bien, vous pourrez vous concentrer sur votre conduite.

Captez son attention

Donnez à votre enfant la force de savourer le voyage. S’il est éveillé, la musique aidera également votre enfant à se détendre. La radio, un CD ou peut-être votre voix personnelle feront l’affaire, à condition qu’elle ne soit pas très forte pour le bébé et aussi pour vous en tant que conducteur. Vous pouvez également lui parler fréquemment et discuter avec lui de ce qu’il voit. Là encore, si votre bébé vit le voyage, vous pourrez vous concentrer davantage sur votre conduite.

Pensez à tout ce qui est nécessaire

Placez toutes les affaires nécessaires dans votre voiture. Y compris les couches, les biberons pleins, les jouets ainsi que d’autres objets essentiels que vous pourriez vouloir utiliser en même temps. Organisez-les de manière à ce qu’il soit facile de les avoir. Cela vous évitera d’être dérangé dans votre conduite, ce qui est essentiel pour la sécurité. Toutefois, soyez prudent lorsque vous souhaitez vous déplacer.

Roulez accompagné

Faites-vous accompagner par quelqu’un. C’est extrêmement recommandé, surtout si le voyage est long. Il est préférable que votre compagnon sache aussi comment conduire et qu’il ait son permis avec lui. Vous pourrez changer de siège avec lui si vous vous sentez fatigué ou mal à l’aise, et il pourra même s’amuser avec votre enfant de temps en temps. Les bébés peuvent vous déranger à tout moment, quelle que soit votre préparation.

Veillez à sa sécurité

Assurez-vous de ses gadgets de sécurité. Bien qu’il soit communément admis que vous lui fournissiez simplement des sangles de sécurité, il est préférable de les vérifier de temps en temps, en particulier lorsqu’il est éveillé. Les bébés peuvent se déplacer dans différentes directions et il peut être tordu en l’utilisant sans que vous le sachiez. En outre, vous ne pouvez pas faire constamment confiance aux sangles. Si vous pouvez blâmer les fabricants pour un produit de qualité inférieure, il est toujours de votre ressort, en tant que parent, de garantir la sécurité du bébé.

Mettez un autocollant à l’arrière

Des autocollants sur la vitre arrière aideront à rappeler aux autres automobilistes de faire très attention avec vous si vous êtes plus lent. Ils vous suivront de loin parce qu’ils comprennent à quel point il est difficile de conduire avec un bébé. En outre, le résultat dans la taille et le placement visible quels que soient les angles. Vous pouvez également sourire aux autres automobilistes et leur indiquer la place du bébé lorsqu’ils vous dépasseront, simplement pour vous assurer qu’ils savent déjà qu’il y a un bébé dans votre véhicule.